Quatorzième séance

Il fait trop chaud. Pour travailler, pour jouer, pour écrire. Entre deux litres de sueur perdus, qu’il est difficile de récupérer même en s’abreuvant comme un chameau, le chaologue a tout de même pris le temps de finir quelques jeux. C’est principalement la faute à un mouton noir, mais il faut l’en remercier parce que c’était tout de même de bonnes expériences.


Une séance assez courte donc, mais qui voit le retour de l’aventure intérieure avec un huitième chapitre dans lequel on part explorer le dessous des cartes Steam. Et c’est pas beau à voir.


Beholder nous mettait dans la peau d’un concierge qui épiait tout de la vie de ses locataires. Le DLC Sommeil béat nous ramène dans cet immeuble insalubre et déprimant, ce qui n’est pas pour me déplaire.


Quinze ans après tout le monde et surtout quelques semaines après la fin de sa mise en vente, le moment est bien choisi pour parler d’Alan Wake, vous ne trouvez pas ?


En général, quand on raconte une histoire au sujet d’un oncle, il s’agit souvent d’anecdotes de repas de famille bien arrosés. A Story About My Uncle prend à contrepied ce cliché et nous emmène à coups de grappin dans une histoire vertigineuse.


Continuons dans les décors mystérieux et surprenants avec un petit tour sur l’Early Access de CAT Interstellar. Il y a bien un chat dans le jeu, mais l’intérêt est ailleurs.


Finissons avec Gone Home, ce simulateur de marche particulièrement attachant et bien écrit qui a de grandes chances de dormir dans votre backlog. Il mérite d’en sortir, d’autant que ça ne vous prendra pas bien longtemps.


Voilà, c’est tout pour cette séance, garantie sans E3 malgré un potentiel de golerie assez monumental.